Index des références: Projet PAKXE

SOMMAIRE

[1] Préambule de la Convention créant l’UNESCO à Londres, le 16 novembre 1948

[2]  “Le Courrier de l’UNESCO”, novembre 1995, pp. 5

[3] Federico Mayor, “Le courrier de l’UNESCO”, novembre 1995, pp. 6-7

[4] La Paix sur la Terre, Pacem in Terris, encyclique de Jean XXIII du 11 avril 1963, Editions du Centurion

[5] Pierre Hassner, Guerre et Paix, Dictionnaire de philosophie politique - sous la direction de Ph. Raynaud et St. Rials, PUF 1996

[6] La continentalisation, véritable objet de la mondialisation Article de Bernard Gerbier dans La Pensée N° 309

[7] Jean-Pierre Robin  (Le Figaro Economique du 8 octobre 1999)

[8] Babette Stern, Le Monde du 29 juin 1999

[9] En 1984, François Mitterrand et Helmut Kohl se tinrent la main devant un monument aux victimes françaises et allemandes de la bataille de Verdun. La ville, qui abrite un musée international de la paix, est un symbole fort. En 843, les trois petits-fils de Charlemagne y signèrent un traité qui divisa l’Empire carolingien en trois : la Francie orientale, future Allemagne, la Lotharingie (origine du mot “Lorraine”), et la Francie occidentale, futur royaume de France. Certains historiens voient dans ce traité la date de naissance de la France. Celle-ci serait donc née par scission d’avec sa soeur jumelle germanique, après l’échec du projet messianique de Charlemagne, “père de l’Europe”. On notera que la bataille de Verdun (février-décembre 1916) fut le coeur de l’affrontement des deux nations pendant la première guerre mondiale. 700 000 soldats y trouvèrent une mort souvent atroce, se répartissant presque également pour moitié entre les deux camps.

[10] Paul Fèvre, Pacifique (Equilibre), in Encyclopedia Universalis

[11] Hegel, Principes de la Philosophie du Droit, 1821, in Paix sur la Terre, Anthologie de la Paix, UNESCO 1980

[12] Thomas Hobbes, le Léviathan

[13] Article Paix - L’Encyclopédie

[14] Saint Augustin, La Cité de Dieu, XIX, 13

[15] Johan Galtung, La Paix est-elle possible ? Anthologie de la Paix, UNESCO op. cit. pp. 211-213

[16] Federico Mayor, Le Courrier de l’UNESCO, novembre 1995, p. 7

[17] Du Grec Polemos, combat, guerre. La polémologie est la science des conflits : typologies des guerres, de leurs causes, de leurs déroulements, de leurs buts. L’irénologie (de Iréné, la paix) est au contraire la science de la paix.

[18] Association of South-East Asia Nations. L’Association fut créée en 1967. Les membres fondateurs étaient la Thaïlande, la Malaysia, Singapour, les Philippines et l’Indonésie, puis Brunei à partir de 1984.Le Vietnam est devenu membre en 1995, le Laos et la Birmanie en 1997, le Cambodge en 1999.

[19] Cette vision du mouvement de la civilisation suscitera des objections. Peut-on ignorer des civilisations aussi remarquables et anciennes que celles de la Chine et de l’Inde en Asie, ou des Indiens d’Amérique ? Nous n’ignorons pas ces très grandes aventures humaines, apparues entre le troisième et le deuxième millénaire avant notre ère. Nous constatons simplement qu’elles n’ont pas connu la même expansion impériale et mondiale que celles surgies de la matrice méditerranéenne.

[20] Avec ses 30 millions d’habitants, la Californie est l’Etat le plus peuplé des Etats-Unis, regroupant le huitième de la population. A lui seul, cet Etat est une des toutes premières places commerciales du monde (entre la sixième et la huitième place selon les auteurs), et le siège d’une activité culturelle et universitaire très intense.

[21] Zone s'étendant entre San José et San Francisco, concentrant l'essentiel de l'industrie électronique américaine.

[22]  Jean Ruffat commente, pour le Figaro Economique : “Cent cinquante ans après, la ruée vers l’or se poursuit en Californie. C’est sur la faille de San Andreas qu’est actuellement l’épicentre du renouvellement de la valeur économique pour l’économie mondiale, au travers du développement des technologies de l’information.  

[23] L’Amérique Latine représente 40% des exportations américaines, et ces exportations intracontinentales croissent actuellement beaucoup plus vite que la croissance des exportations vers l’Europe

[24] World and I, mars 1992, p.17

[25] William Manchester, Mc Arthur, Un César américain, Robert Laffont 1982, p. 56

[26] Claude Delmas Pearl Harbour, Et la Guerre Devint Mondiale, Editions Complexe 1990, p. 57

[27] Pour Michel Mourre, ce choc de l’Amérique et du Japon est la genèse des autres bouleversements qui secouèrent le reste de l’Asie orientale jusqu’à nos jours. Dictionnaire Encyclopédique d’Histoire, Bordas, 1978Tome 1, p. 357

[28] William Manchester, Mc Arhtur, Un César Américain, op. cit. p. 186

[29] Marcel Roncayolo, le Monde et son histoire, Bordas 1973, Vol IX, p. 568

[30] Michel Mourre op. cit. Tome 4, p. 2410

[31] William Manchester, Mac Arthur, op. cit. p. 348

[32] Idem, p. 373, c’est nous qui soulignons.

[33] Emmanuel Nézy et Alain Nonjon, Cartes sur Table, Espaces Etudes Editions 1996

[34] Quant à la Nouvelle-Guinée, elle est peut-être une allusion au fait que le croisement de l’Equateur et du Méridien de Greenwich se situe dans le Golfe de Guinée, en Afrique occidentale.

[35] Géographie de l’Asie du Sud-Est, Jean Delvert, Que Sais-Je ? 1967 p. 5

[36].Rodolphe de Koninck, L’Asie du sud-Est, Masson 1994, p. 1

[37] Géographie Universelle, L’Asie du Sud-Est et l’Océanie, Belin-Reclus 1995, p. 18

[38] "Les clivages socioculturels hérités de l'histoire, comme les rivalités de puissance plus ou moins extérieures à la région, n'ont pas empêché l'apparition d'un début de conscience régionale. Elle se manifeste par la lente mais régulière progression de l'ASEAN." (Géographie Universelle, op. cit., p. 7)

[39] Michel Bruneau et Christian Taillard op.cit. p. 8

[40] op.cit. p. 11

[41] op. cit. p. 12

[42] L’Asie du Sud-Est, Rodolphe de Konicnk, Masson 1994, p. 30

[43] L’Asie du Sud-Est, Rodolphe de Koninck, op. cit. p. 36

[44] Nous avons fait ce tableau à partir de deux sources. Le premier chiffre est donné par Rodolphe de Koninck dans son livre l’Asie du Sud-Est, Masson Géographie 1994, pp. 88-89. Quand un chiffre indiqué en italiques, il est tiré d’une excellente étude d’Asie Magazine N° 8 (juillet-août 1998), pp. 38-39. Les commentaires sont de nous-mêmes.

[45] R. de Coninck, op. cit. p. 69

[46] Géographie Universelle, op.cit. p. 39

[47] R. de Coninck, op. cit. p. 86

[48] Axis, Hachette, p. 400

[49] R. de Coninck op. cit. p. 39

[50] Géographie Universelle, op. cit. p. 34

[51] Géographie Universell op. cit. p. 36

[52] idem, p. 36

[53] R. de Coninck, op. cit. p. 1

[54] Rodolphe de Koninck op. cit. p.97

[55] Yves Nouguérède, Mutations Asiatiques N° 11, mai 1998, p. 35

[56] Yves Nouguérède, Mutations Asiatiques N°11, mai 1998, p. 35

[57] M. Christian Taillard, géographe et directeur de recherche au CNRS, a consacré de longues années à étudier le Laos. (“Laos, Stratégies d’un Etat-tampon”, Reclus 1987). Il note que "dans la nouvelle conjoncture, le Laos s’impose par sa fonction politique ... entre ses deux grands voisins de l’Est et de l’Ouest (Vietnam et Thaïlande), il est la meilleure garantie de sécurité pour tous et de paix dans la péninsule." Qu’il nous soit permis d’ajouter au propos de M. Taillard, que cette vocation de doit pas être purement politique et géopolitique, mais morale avant tout.

[58] Pakxe est souvent orthographié Paksé sur les cartes anciennes. La ville fut fondée en 1905 par les Français.

[59] Plusieurs organismes régionaux ont essayé de piloter des projets de développement. L’ASEAN bien sûr, mais aussi les divers projets d’aménagement du bassin du Mékong. Il faut aussi rappeler les projets de la Banque Asiatique de développement. Certains Etats de la région sont aussi porteurs de projets, par exemple la Chine, le Japon, la Thaïlande, et l’Australie